Pour goûter au bonheur, il convient d’être heureux.
Pour que cela puisse être, il faut goûter à tout.
Déguster les moments aussi simplement que
Regarder un oiseau, lécher un roudoudou.
Toucher, voir et tâter. Aimer, sentir, entendre.
En quête permanente du vrai, du bien, du beau,
À ce prix, le bonheur, il suffit de le prendre
Quand il passe en silence, un peu incognito.
Délicat et subtil sentiment personnel,
Le bonheur a un prix qui n’est pas d’excellence
Mais d’assiduité à la quête du ciel,
Inaccessible étoile au firmament des sens.
Subjective ascension de l’idéal humain,
Vers lequel nous allons malgré tous nos malheurs,
Bon ou mal, heur il est. Présagés en latin,
Les augures annonçaient leur avis prometteur.
Suis-je heureux ? Oui, peut-être. Je saisis l’occasion
De saluer bien bas, la compagn’ de ma vie,
Qui sait que le bonheur n’est pas une illusion
De l’esprit et des sens, elle en connaît le prix.
Jean-Charles Theillac
lu et approuvé … !!!
Bravo Papa !
Tes mots ne passent jamais incognito et je saisi moi aussi l’occasion de te dire : Bravo et Continue … c’est beau !
Plein de « o » 🙂
Bisoooouuus