Zapping sur le bilan …et ALEVEQUE en prime
Putain, deux ans c’est long ! Encore trois pour le compte.
Ce n’est donc pas fini ? Pourtant il avait dit
Que ‘’c’était la victoire de la France, chers amis ‘’.
Pardon ‘’cher ami’’, je n’en suis pas, j’ai honte.
Bien sûr, y’a eu la crise. Il faut bien faire avec.
Cher Monsieur Président, pourquoi éprouvez-vous
Le besoin cardinal, comm' disait ALEVEQUE,
D’en rajouter toujours, sans arrêt et partout ?
De vos prédécesseurs, vous êtes la synthèse.
Pas de celle qui vous placerait au milieu
Encore moins au-dessus, de la Nation française,
Mais le PPCD(*), ni illustre, ni glorieux.
Comment des gens brillants, enfin, …passant pour tel,
Peuv’nt-ils constituer une cour aussi ‘’toc’’
Et devenir ainsi, fourbes et superficiels,
S’exprimant en play-back comme des ventriloques ?
Vous en êtes l’auteur, le Mickey, le loustic.
Vous leur dictez les mots, les idées, l’évidence,
Les clins d’œil anodins, les foucades et les tics,
Sans vous préoccuper de vos propres carences.
On vous doit le respect d’avoir été élu
Dans la pure tradition de notre République.
Mais au nom de cela, nous sommes résolus
À briguer pour la France un patron authentique.
Prenez de la hauteur : faites confiance aux hommes
Que vous avez nommés. Montrez-nous le chemin,
Indiquez-leur la voie. Laissez ce décorum
Et cessez vos promesses, habillez-vous d’humain !
Imaginez De Gaulle, Pompidou ou Tonton
Tapant sur les épaules de leurs concitoyens !
Vos moult privautés ne sont qu’agitations
Destinées à briller parmi les ‘’bons à rien’’.
De votre mise en scène, le ‘’vrai’’ peuple en a marre.
Du caïd de banlieue ‘’bling’balante’’ et hautaine.
A choisir il préfère, d’authentiques loubards,
Car avec eux au moins, il y’a la quarantaine.
Homme d’Etat, vous n’êtes pas. Des tas d’hommes le sont.
Mais ils se font discrets et n’ont pas le forum
Et la cour partisane à leur disposition.
Des richesses terrestres, ils ne sont pas les gnomes.
Vous êtes l’opportun de tout opportunisme.
Vous prenez les postures de vos chères impostures.
Vos interrogations et vos trop nombreux truismes
Ne trompent plus personne sur votre mandature.
Jean-Charles Theillac
(*) Plus petit commun dénominateur
La mécanique des libertés
L’actualité, au même titre que drames
et crimes, n’est pas du tout de notre ressort.
Les choses arrivent comme des objets morts
sous les mains de têtes chercheuses d’états d’âmes.
Sois gentil ! Ouvre ton esprit ! Prends la becquée !
Au menu : que des nourritures fantastiques
concoctées par des chefs ! Ne fais pas ton bébé !
Mange le pudding occidental-islamique !
(lire le texte entier sur lapetiteguerre.overblog.com)