Chacune à son chacun et chacun sa chacune
Se présente des vœux sincères ou similis.
Depuis bien des années sans aucune lacune,
D’oublier l’inconnu, bastringue et patchouli.
Une grosse pensée à ceux qui n’ont de voeu
Ni même de souhait à se mettre à l’oreille
Solitaires mais sereins, inquiets ou malheureux
C’est la der pour certains et l’enfer c’est pareil.
« Bonne année, bonne santé », arrosé d’hydromel
N’épargnera personne de son destin chagrin.
Mais il est toujours bon d’envoyer pêle-mêle,
Des ondes positives, émanant du bon grain.
Le huit est l’infini en position couché.
Que cette infinitude vous apporte l’espoir
D’un bonheur infini, d’une joie affichée
Aux frontons des demeures au titre des beaux-arts.
Jean-Charles Theillac