Je me souviens encore des soucis et misères
Que je t’ai fait subir, Ô ma petite mère.
Le temps a passé vite, toi et moi ce fut court.
Je sais que de là-haut tu me veilles chaque jour.
Tous les désirs d’enfant tu me les exauçais.
Vous n’étiez pas Crésus mais cela suffisait
À mon petit bonheur et mes joies enfantines.
Comme une maman d’amour, tu étais Mélusine.
Et puis y’avait Coulette, ma petite compagne,
Elle partageait tout, mes tourments, mes galères.
Les deux autres copains qui peuplaient ma cocagne,
Un petit et un gros, étaient imaginaires.
Petite mère chérie, tu m’as donné l’envie
D’avoir envie de vie et surtout de l’aimer.
Je ne t’ai pas trahie, j’ai toujours essaimé
Ton pollen d’amour et tes leçons de vie.
Petite mère câline, dans ton vieux tablier,
Je ressens tes douceurs et ta main qui caresse
Mes longs cheveux dorés. Ton odeur de princesse
Et ton âme légère, je ne les oublierai.
Jean-Charles Theillac
Tout simplement Magnifique 🙂
Salut JCh
De bon matin ton petit (et fort) poème m’a donné envie de bien démarrer ma journée!!
Bonne journée à toi et peu être à ce soir!!
Jef
coucou mon Jean Charles,
merci pour cette leçon de vie ,ce rappel des bonheurs de notre enfance avec notre maman..
tes poèmes te ressemblent et j ai toujours beaucoup de plaisir à les decouvrir.
bravo,merci et bonne journée